French People Express Their Fury And Despair (At the website of Ivan Riofol)
Valls nous prend pour des imbéciles et nous insulte.
On lit ici et là, on entend ici et là “qu’il y aura un avant et un après Kouachi-Coulibaly” !
On lisait ici et là, on entendait ici et là la même chose à propos de Merah, de Nemmouche, du 11 Septembre, etc……
Le dire est à la mode, ça vous pose un philosophe comme être de Garenne, ça vous pose un lapin mais moi qui ait connu la France d’avant 1976,je pense que le seul “avant et après” s’articule autour de la date de décision du calamiteux regroupement familial, c’est à dire 1976…..
Le changement de Société au mauvais sens du terme date de cette époque, la dégradation des comptes publics, la dégradation des comptes sociaux datent de cette époque, la hausse constante des “incivilités”, de la délinquance, de la criminalité date de cette époque et le faux aveuglement de la clique alternativement au pouvoir pour nous donner l’illusion de la démocratie, date de cette époque !
On a voulu nous faire avaler :
– l’assimilation, c’est raté
– l’intégration : c’est raté
– le vivre-ensemble : c’est encore raté
Et maintenant, de quelle utopie va-t-il s’agir?
Du “mourir ensemble” ?
Non merci !
En ce qui me concerne et je ne dois pas être le seul, le point de non-retour est dépassé !
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***** Sans l’islam les médecins et infirmières ne seraient pas quotidiennement insultés ou frappés par des barbus arriérés refusant qu’on soigne ou accouche leurs femmes.
*****Sans l’islam, il n’y aurait pas deux mille agressions et deux cents viols par jour en France, selon les chiffres de Laurent Obertone, dans « France Orange Mécanique ».
*****Sans l’islam, il n’y aurait pas d’appels quotidiens à la haine religieuse et à la discrimination dans une grande partie de la population, ce qui détruit tout espoir de cohésion sociale et d’entente cordiale.
*****Sans l’islam, il n’y aurait pas eu de guerre d’Algérie, car la France n’aurait pas eu à intervenir dans la région en 1830, pour mettre fin aux barbaresques. Les pays d’Afrique du Nord ne seraient pas si désagréables à vivre et ne nous enverraient donc pas tant de délinquants et de criminels.
*****Sans l’islam, il n’y aurait donc pas eu non plus de traite atlantique, donc pas de repentance pour un phénomène que l’occident, d’une manière générale a en fait combattu et vaincu.
*****Sans l’Islam, les jeunes filles et les femmes de France pourraient vaquer dans la rue avec un taux « normal » de sollicitations plus ou moins galantes.
*****Sans l’Islam, des dizaines d’adolescentes pourraient poursuivre des études et mener des existences libres sans se voir razziées ici et mariées là-bas, la plupart du temps avec des vieux vicelards qui pourraient être leurs grands-pères.
*****Sans l’islam, le professeur Robert Redeker ne vivrait pas comme un prisonnier dans son propre pays depuis 2006.
*****Sans l’islam, les autochtones ne seraient pas obligés de quitter leurs banlieues natales, où ils y avaient tous leurs souvenirs, leurs repères, leur avenir et dont ils ont financé les infrastructures, les équipements sportifs, les établissements et services publics… par leurs impôts et ceux de leurs aïeuls.
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“Le défi qui est posé à la politique est de faire cohabiter, en France, la civilisation musulmane, importée par l’immigration de peuplement, avec la civilisation occidentale”
-Défi que JAMAIS aucun pays n’a réussi à relever. C’est l’islam qui a bouffé les autres civilisations.
Il faut en prendre conscience rapidement.
Avec le nouvel “apartheid”, dont nous serions encore et bien évidemment coupable, Valls entérine le communautarisme qui structure désormais certaines de nos cités.
J’ai connu une banlieue lyonnaise du côté de Gerland où, il y a une trentaine d’années, l’introduction d’une famille d’origine africaine dans un immeuble était plutôt vu comme une bonne chose par le voisinage. Un gentil exotisme s’installait. On considérait avec une certaine indulgence les frasques et le tapage fait dans les cages d’escaliers par les enfants de cette famille nombreuse que l’on parvenait malgré tout à canaliser.
Et puis, le vieillissement des familles autochtones aidant, une famille d’origine africaine est devenue rapidement 2, puis 3, jusqu’à constituer l’essentiel de l’immeuble. Les enfants devenus ados devenaient arrogants et facilement insultants et violents vis à vis des derniers et anciens résidents. Les derniers vieux lyonnais sont morts ou partis et une espèce de sélection ethnique s’est faite d’elle même. Les résidents coopotant les nouveaux en fonction de leur appartenance ethnique, cela avec la bienveillance des organismes HLM qui voulaient ainsi éviter les bagarres et ne pas être soupçonnées de choisir les locataires en fonction de leurs origines.
Les immeubles se sont rapidement organisé de façon autonome autour d’une structure tribale, les manifestations culturelles y sont communes, la polygamie s’y est installée, les enfants nombreux, dont on ne sait plus à qui ils appartiennent, ont investi les cages d’escaliers comme ils l’auraient fait d’une place de village dans leur pays d’origine et il n’est pas rare que les mamas fassent la tambouille sur le palier. La solidarité, cette merveilleuse valeur dont nous nous serions privée est ici vécue au quotidien.
C’est cela l’apartheid, en réalité il s’agit du communautarisme qui nous a submergés en moins de trente ans. Désormais dans les cités de Montreuil, de Bondy etc. les immeubles sont ethniques.
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Victimiser ceux à travers lesquels est venu le mal – et ainsi tacitement les encourager – et culpabiliser les victimes – c’est l’habituelle politique totalement aberrante, voire délirante, de la gauche. On a vu le résultat. Qu’ils continuent comme ça, ils sont sur la bonne voie ! Le message va bien passer, on peut compter sur un regain et même sur une augmentation de la violence. Tant de bêtise, c’est à désespérer et c’est hélas sans remède. Avec ce gouvernement, nous sommes vraiment foutus.
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Non, l’apartheid en question existe bien, mais ce sont les musulmans qui en sont à l’origine.
Les banlieues étaient pleines de Français dans les années soixante, mais ils ont dû partir en raison des incivilités, de la violence et des intimidations de VOS coreligionnaires.
Il ne reste plus dans ces banlieues que les Français trop âgés ou trop pauvres pour pouvoir déménager. Ils vivent un enfer de menaces journalières par les adeptes de la religion de paix et d’amour.
La question de votre remigration se posera bientôt, car la France ne sera jamais partagée en deux territoires.
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Le mot apartheid est fort et totalement inadéquat. L’apartheid était une volonté de séparer les communautés au départ, en France c’est l’inverse, l’apartheid est un résultat une conséquence de l’échec de la mixité. Nos services publics en octroyant des HLM à la nouvelle immigration musulmane a fait fuir l’ancienne, européenne ou pied noir. Nous n’avons jamais eu une volonté de “parquer” c’est l’État qui a eu la volonté de “mixer” de force. On a vu le résultat. On ne peut parquer des gens que dans des endroits vides, les cités étaient déjà pleines ! L’ascenseur social fonctionnant encore, dès qu’une famille avait les moyens de mieux vivre, elle partait vers un pavillon avec jardin, l’appart libéré était illico octroyé à une famille maghrébine. La boule de neige s’est faite en très peu de temps.
On ne pourra pas faire vivre ensemble des gens qui ne le veulent pas. On n’aime pas leur mode de vie, leurs comportements, ils n’aiment pas les nôtres. Et ils veulent nous obliger à ” Faire France” Mon œil ! Ce pays est un futur Kossovo à grande échelle et la taille et l’Histoire millénaire de ce pays font que l’Europe entière en sera bouleversée. Beaucoup de peuples européens partagent notre sentiment. Une oligarchie franc-maçonne tient les rênes, pour l’instant, et musèle les peuples, elle n’y arrivera pas encore longtemps, tous les évènements viennent les contredire et nous donner raison.
Si 40 ans après, l’intégration, l’assimilation la fusion, n’ont pas été effectuées elles ne le seront jamais. Les Merrah, Nemmouche, Kouachi, Coulibaly sont de deuxième, troisième génération ! C’est dire le succès de l’intégration ! Certains ont le Coran dans le cœur au dessus de toute autre considération. L’Afrique a été colonisée, cela s’est terminé en guerres de libération. Pour l’Europe il en sera de même. L’Europe doit être européenne ou elle ne sera plus. Dieu nous a donné chacun notre continent, pourquoi faire compliquer en mélangeant les cartes ? Les échanges normaux entre continents sont le commerce, le tourisme ! Pas l’invasion !
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Avant même les attentats survenus les 7, 8 et 9 janvier, l’islam en France inquiétait une partie de l’opinion. Plusieurs enquêtes montraient un sentiment hostile et une surestimation du poids de cette religion. Autant de craintes alimentées par une actualité où l’islamisme radical tend à devenir omniprésent et dangereux, générant des peurs….avec des passages à l’acte….
15.000 musulmans radicaux aujourd’hui sur le sol français ? Dans ma jeunesse, et dans le pays ou je suis né en 1947,il n’y en avait pas… Que s’est-il donc passé ?
Aymeric Chauprade analyse le danger de la présence musulmane en France
Mais il a des solutions et l’on ne veut pas les prendre, pourquoi ????
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“Anne Hidalgo va porter plainte contre la chaîne de télévision américaine conservatrice, Fox News. La maire de Paris lui reproche d’avoir publié un reportage sur l’existence de “No go zones” au cœur de la capitale, c’est-à-dire de quartiers interdits aux non-musulmans.”…
Les infos de Fox News seraient-elles tellement fantaisistes? Si l’on se fie aux données du site:
on trouve par exemple sur Paris:
Zones de niveau 1 ou QSN:
Paris 18eme: la Goutte d’Or (Barbes)
Paris 19eme: Flandre: (Cambrai-Curial-Riquet-Stalingrad)
Zones de niveau 2:
Paris 13eme: Quartiers Sud
Paris 19eme: Place des Fetes
Paris 20eme: Belleville-Amandiers
Paris 20eme: Saint-Blaise
ce qui signifie que vous n’avez pas intérêt à y aller trop souvent car:
– le NIVEAU 1 signifie QSN (QUARTIERS SENSIBLES DE NON-DROIT). Dans ces quartiers on enregistre des faits de délinquance très réguliers avec des faits de violences urbaines, fusillades ou règlements de comptes et trafic en tout genre. Ce sont les quartiers les plus chauds de France considérées comme des zone de non droit.
– en revanche les quartiers de NIVEAU 2 – QSTD: (QUARTIERS SENSIBLES TRÈS DIFFICILES) la vie est plus belle car dans ces quartiers on n’enregistre que des faits de délinquance réguliers et de toute sortes. La plupart de ces quartiers ont été auparavant des zones de non droit.
À part ça tout va très bien à Paris.
Quant à la Région Île-de-France on a aussi des listes et de classements, par exemple le TOP est constitué par:
#1 VAL FOURRE – Mantes-la-jolie (78)
#2 LA GRANDE BORNE – Grigny (91)
#3 LE GRAND ENSEMBLE (Les Bosquet/Anatole France/ La Forestiere/Romain Rolland/Le Chêne Pointu) -Clichy/montfermeil (93)
#4 LES LOCHERES – Sarcelles (95)
#5 LES 3000 – Aulnay-sous-bois (93)
#6 LES TARTERETS – Corbeil-essonne (91)
#7 RIQUET/CURIAL – Paris (75)
#8 LES BEAUDOTTES – Sevran (93)
#9 VAL D’ARGENT – Argenteuil (95)
#10 PABLO PICASSO – Nanterre (92)
Je vois bien que Mme Hidalgo aura beaucoup d’arguments contre Fox News qui a sali l’image de la France)
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…”S’il y a bien une fracture identitaire (titre de mon livre paru chez Fayard en 2007), aujourd’hui admise pas tous, il n’y a pas de séparatisme décrété. Si cette issue devait un jour se produire, ce serait par la volonté d’une population rétive à l’intégration et tentée par la rupture. Le défi qui est posé à la politique est de faire cohabiter, en France, la civilisation musulmane, importée par l’immigration de peuplement, avec la civilisation occidentale.”
En quarante ans, par le biais d’une immigration sauvage ainsi que par une natalité importante, le nombre d’immigrés a atteint des chiffres inavouables. Minimisés par les gouvernants de tous bords, ces chiffres devraient tourner autour de dix millions de personnes. Or, ces dix millions d’individus forment un ensemble homogénéisé par l’islam qui peut être assimilé à un peuple. On a donc deux peuples – les Français (de souche ou assimilés) et les musulmans (naturalisés Français, bi-nationaux, apatrides, etc.) qui se partagent un même territoire. Les uns ont la légitimité historique sur la terre de leurs parents, les autres ont la légitimité du fait accompli (j’y suis, j’y reste). Les premiers ont ouvert la porte et laissé venir tous ces gens qui y sont logés-nourris-blanchis à leurs frais et ils cèdent de plus en plus de terrain. Les autres ont des exigences et si jamais ils se sentent “offensés” ils tuent. Pour l’instant cette France musulmane est plutôt confinée en banlieue mais un jour elle voudra aussi habiter le 16ème nord et elle le fera à sa manière…
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Les allogènes peuvent aller partout librement. Peuvent se loger partout librement s’ils ont le moyen de payer un loyer autre que social (auquel cas, ils doivent forcément se limiter aux zones où ce genre de logement est disponible et ce, sans le moindre esprit de ségrégation mais uniquement de disponibilité des constructions). Il y a même des lois pour les protéger. Il y a même une instance pour recevoir leurs plaintes face à un comportement « raciste ». Il y a même des « testeurs » dissimulés pour tester la bonne la bonne volonté des bailleurs. Les allogènes peuvent circuler partout et à n’importe quelle heure sans se faire agresser. Quand y a-t-il eu une « ratonnade » ?
Pour les Français de souche, par contre, il est dangereux de circuler dans certains quartiers, surtout après la tombée de la nuit, et même sur certaines lignes de transports en commun. Les filles risquent le viol, les garçons, le couteau sous divers prétextes, en particulier le regard qui déplait ou la cigarette refusée. Il y a des quartiers qui n’évoquent plus la France où il ne fait pas bon d’habiter quand on est blanc. A moins de se soumettre et de copier LEURS codes et même leur façon de parler et de se convertir.
Tel s’est fait tabasser à mort pour avoir photographié les réverbères installés par sa société, tel autre pour avoir voulu éteindre le feu de sa poubelle, telle libraire pour s’entêter à exister chez elle…
Quand y a-t-il eu des aborigènes tués par des allogènes… ? Tout le temps ! Pas plus tard que la semaine passée – même que ça a fait du bruit – et bien avant. Depui longtemps mêm s’il s’agit toujours de “déséquilibrés”. Et si certains ne sont pas morts ce n’était pas faute d’avoir essayé.
L’allogène va partout et s’étend comme il veut, l’aborigène voit son espace se réduire comme une peau de chagrin. Si « apartheid » il y a, il est inversé : c’est le français de souche qui est éliminé de certains quartiers.
D’autre part le mot apartheid rattaché à un contexte particulier laisse entendre une volonté de la France culpabilisée pour qu’il en soi ainsi. Or il s’agit plutôt d’une décantation naturelle fortement impulsée par les minorités invasives et tendant toujours vers le même résultat : l’éviction des blancs. Par le biais de l’immigration qui renforce sans cesse les rangs des « autres » et de la natalité, plus forte chez eux que chez nous, mais aussi d’agressivité beaucoup plus virulente qui voit toujours les nouveaux français menacer les anciens et jamais l’inverse.
Un exemple tout chaud de l’agressivité à sens unique des tenants de la religion de paix et de tolérance, pas plus loin que sur ce blog… farid 21 janvier 2015 14h38 qui nous assène avec toute la grâce verbale de sa culture : « la france est COUPABLE
valls l’a clairement exprimé : la france pratique l’apartheid contre les arabes et les noirs
il faut que la CHIENNE paye ! »
La chienne en majuscules ! Voilà où nous mène l’imprudence de Valls et la haine de soi de ceux qui nous gouvernent : à accroitre encore le sentiment victimaire et le ressentiment déjà si virulent de cette population haineuse.
Alors Monsieur Valls vous feriez bien de tourner 7 fois la langue dans votre bouche avant de parler et d’expliciter clairement le contenu de vos mots lorsqu’ils sont chargés d’une symbolique particulière sans rapport avec notre propre contexte.
De toute manière deux civilisations ne peuvent exister pacifiquement sur le même territoire : toute l’histoire l’a démontré. Même le vocabulaire a créé des mots à partir des ces situations tellement il s’agissait d’évidence : libaniser, balkaniser.
Il n’y a pas trente-six évolutions possibles :
-leur assimilation – et non l’intégration – en utilisant tous les moyens possibles à commencer par la réduction drastique de leur nombre chez nous et la suppression de leurs privilèges.
-la guerre permanente et nous y venons, jusqu’à ce qu’un des groupes l’emporte.
-Ou notre soumission en rase campagne. Ce qui semble malheureusement être la voix choisie par ces traitres qui nous gouvernent. Et le retour au pire des Moyen-âge.
Autre chose qui m’a marquée. Hier c’était le jour de gloire du jeune homme, ex-sans papier aujourd’hui naturalisé, qui a « sauvé » les otages de la supérette casher. Une action de propagande de plus ( style la France black, blanc, beur) pour nous prouver que sans eux nous ne sommes rien et que si les otages n’ont pas été tous tués, c’est grâce à cet immigré. Qui a, il me semble, commencé par se sauver, lui-même ! Laissant les autres otages dans la magasins jusqu’à ce que la police les en sorte.
Je ne peux m’empêcher de penser que si ce garçon avait été blond et s’était appelé François Dupont, il n’aurait pas été à ce point traité en héro. Je n’a, le traitement de son cas pue à plein nez la manipulation politique et l’exaltation frelatée d’un vivre ensemble fantasmé.
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Le petit agneau naît en 1982.
Alors qu’il est lycéen en classe de première « bac pro », le petit agneau devient coutumier du braquage (vol de garage, vol de commerce).
Le petit agneau est condamné, le 15 décembre 2004, à six ans de prison pour trafic de stupéfiants, recel, et pour le braquage de la banque BNP d’Orléans.
C’est en 2005, durant son incarcération à la prison de Fleury-Mérogis, que le petit agneau fait la connaissance de Chérif Kouachi, emprisonné pour sa participation à la filière djihadiste des Buttes-Chaumont, et de Djamel Beghal, qui est devenu en prison le « mentor » de ce dernier.
En prison, le petit agneau bascule alors dans l’islam radical.
Après avoir purgé sa peine, le petit agneau sort de prison.
Le petit agneau est arrêté le 18 mai 2010, mis en examen et placé en détention provisoire quatre jours plus tard. Il est en effet soupçonné par les services antiterroristes d’avoir participé à la tentative d’évasion de Smaïn Aït Ali Belkacem, l’un des principaux auteurs de la vague d’attentats commis en France en 1995, alors emprisonné à la maison centrale de Clairvaux.
(Durant cette vague d’attentats, entre juillet et octobre 1995, la France avait été touchée par huit attentats à la bombe qui avaient fait huit morts et près de 200 blessés. Smaïn Aït Ali Belkacem fut condamné à la réclusion criminelle à perpétuité sans période de sûreté. )
Les policiers se rendent au domicile du petit agneau. La fouille de son domicile permet de découvrir 240 munitions 7,62 de kalachnikov. Pour avoir participé à la tentative d’évasion de Smaïn Aït Ali Belkacem et pour avoir possédé illégalement des munitions de kalachnikov, le petit agneau est condamné à 5 ans de prison ferme.
Le petit agneau sort de prison le 4 mars 2014. Il doit porter un bracelet électronique.
Deux mois plus tard, le 15 mai 2014, on enlève le bracelet électronique du petit agneau.
Le 30 décembre 2014, deux policiers arrêtent le petit agneau pour un contrôle de routine. Ils découvrent que le petit agneau est dans le Fichier des Personnes Recherchées. Sa fiche active est signée du service demandeur : AT (antiterrorisme). Il est considéré comme dangereux et appartenant à la mouvance islamiste.
Les deux policiers préviennent imédiatement leur hiérarchie et les services de l’antiterrorisme … qui ne réagissent pas.
Ils relâchent dans la nature le petit agneau, qui poursuit sa route SANS SURVEILLANCE, SANS PERSONNE POUR LE SUIVRE, SANS FILATURE, SANS RIEN.
Dix jours plus tard, vous connaissez la suite.
Circulez.
Circulez, on vous dit, il n’y a pas de problème.
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J’ai travaillé comme enseignant dans un collège de ZEP dans la région parisienne dans les années 90. Le collège où j’exerçais comprenait des enfants de plus de 30 nationalités différentes. Le comportement des élèves,, même si il était interdit de le constater, était à l’évidence fortement influencé par la culture d’origine des parents.
Les conditions sociales des parents étaient par ailleurs pour tous les mêmes mais leur appréhension de l’Ecole et des savoirs était très différente. Pour certains groupes culturels (on ne peut pas le dire) elle était le seul viatique possible conduisant à la réussite et à l’intégration de leurs enfants et cela fonctionnait parfaitement. Certains de mes élèves intégraient Louis le Grand ou Jansson en fin de troisième; pour d’autres l’Ecole restait le seul moyen de toucher les aides sociales conditionnées (croyaient-ils encore) à l’assiduité de leurs enfants. La réussite importait peu et l’intégration un mot inconnu
En conséquence de ces divers comportements familiaux les élèves avaient des perceptions de l’école et de l’effort totalement différents.
Il me paraissait curieux, dans un pays aussi administré que le notre, que certains enfants, issus probablement de parents en situation irrégulière, puissent être dispensés de fournir les moindres documents administratifs, exigés et nombreux pour les Français de souche, soumis quant à eux à une carte scolaire stricte (mixité sociale oblige). Il était quelquefois même impossible de connaître le responsable légal de certains enfants. D’improbables oncles faisant office d’interlocuteurs pour l’administration.
A l’époque je croyais encore que l’intégration de ces enfants se ferait par le biais de l’Ecole de la République.
J’étais optimiste.
Je suis retourné il y a peu devant ce collège de banlieue. Je n’ai pas osé m’y arrêter et me demande encore comment des enseignants peuvent dispenser sereinement, au même tarif que les profs de banlieues chics, un enseignement dans un milieu d’apparence aussi hostile et étranger.
Des bandes de jeunes (grands frères désœuvrés), aux mines “pas tibulaires mais presque”, errent autour de l’établissement, certainement pour refiler leur came ou surveiller les petites sœurs au cas où elles ne respecteraient pas les codes. Toutes les filles sont voilées et certaines arborent des burkas noires accompagnés de jeunes en tenues pakistanaises.
Les murs autour de l’établissement sont tagués de graffitis en arabe.
En une génération le saut est impressionnant et effectivement conduit à un apartheid de facto, mais la faute à qui?
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